Villes au désespoir

La nuit saigne.,
Et les champs de violettes blanchissent dans la campagne

La lune crache du sang,
Et les étoiles plongent le ciel dans un clair-obscur envoûtant,

La nuit étouffe la cité
Et le vent ramène dans sa main froide des herbes argentées.

Cigarettes. Incendies.
Et ce crépuscule fantomatique qui fait vibrer la nuit.

Le train. Un éclair dans le soir.
Et notre âme qui s’échappe des villes au désespoir

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