La poésie est une sentinelle inquiète
Elle s’est enlisée dans les montagnes de l’âme
Quant à moi plus d’un millier de pétales de cerisiers
Accompagnent la cohorte de mes idées
Dans le brouillard salissant lendemain
Les nuages sont en feu —
Tu vois, les oiseaux les surprennent
Dans leur partie de whist effrénée avec l’océan
Emmène moi admirer le Bouddha de Saito
Emmène moi hors de l’ombre et de ton silence
Allons cueillir les fleurs les plus rares ensemble
Allons plonger dans des eaux chaudes
Au soir tombé, pour nous consoler
Des heures éloignés l’un de l’autre à se mentir
La nuit est calme dans ce pays, elle sait bercer
L’âme intranquille des voyageurs
Mon amour, à Nagasaki les églises affrontent
Le vacarme statique du brouillard
La terre retient son souffle braisé
Les feux inhalent leurs propres fumées ;
Le pont a suspendu son balancement
Le vacarme statique du brouillard
La terre retient son souffle braisé
Les feux inhalent leurs propres fumées ;
Le pont a suspendu son balancement
Combien de temps devons-nous demeurer
Rester figés ainsi entre nuit et jour